Bon, il paraît que sur le site BD-Fil, on ne peut pas bien
lire les textes.
Je mets donc l’histoire que j’ai pondue pendant les 24
Heures de la BD (voir mon message précédent) ici.
Une moitié aujourd’hui, une autre demain.
En scannant, j’ai un peu les mêmes émotions que durant cet
évènement qui remontent. Un stress pas possible qui s’installe. Une envie, un
besoin de faire au plus efficace.
Je me force à me calmer.
Je regarde de nouveau mes dessins. Pfff, pas terribles. Mais
au moins l’histoire est lisible et compréhensible.
Et c’est ça en fait le but.
Revenir à la base : je veux raconter une histoire. Avec
des dessins et des bulles.
Point.
Pas de fioritures, pas de décorations, d’esthétique. Que des
traits qui veulent dire quelque chose, faire comprendre quelque chose au
lecteur.
C’est pour ça que c’est tellement dur pour quelqu’un qui
débute en dessin. Pour quelqu’un qui n’a pas un minimum d’aisance à s’exprimer
par ce medium.
C’est comme si on demandait à un presqu’analphabète d’écrire
une histoire ou une lettre. Il va perdre du temps à trouver ses mots. Et du
temps, justement, on n’en avait pas.
Moi je crois que je ne suis plus une « analphabète du
dessin », mais il y a plein de fôtes d’ortograf dedans.
Je suis déjà contente qu’on comprenne ce que j’ai voulu dire ;o)
Ah oui et pour rappel : la couverture, puis le dessin
de fin ont été faits en tout dernier, très rapidement à main levée.
O.
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