19 janvier 2016

2016, l'année de la mayonnaise


Début d’année sur les chapeaux de roues !

Croquettes dans la Nuit accapare 100 % de mon temps. Pour le dessin, bien sûr, mais aussi pour le travail pour présenter mon projet. Côté médias, heureusement, les journalistes sont très ouverts et sympas. Après avoir eu un article dans le Journal de Moudon, j’ai eu le bonheur d’en avoir un dans le Journal de la Broye et aujourd’hui dans La Liberté. Très local, local, cantonal… Comme une goutte d’encre qui s’étend lentement sur la carte.
Franchement et sans fausse modestie : j’ai beaucoup de peine à parler de moi et les photos me mettent très mal à l’aise. En plus, les journalistes veulent voir mon atelier, évidemment. J’ai un peu rangé, mais ça reste un gros bordel. D’habitude, à part moi, Seccotine-chat ou Héra-chienne, il n’y a que mon Philippe qui vient de temps en temps. C’est mon antre. Ca me fait bizarre d’y accueillir des gens.
Tout ce qui concerne le projet est ici : sur le blog Sandawe.

L’hiver est enfin là. Je le sens aussi dans l’atelier, il doit faire 16-17°. Gros pull, chaussettes tricotées par belle-maman et de temps en temps le chauffage à air pulsé m’aident à travailler agréablement.
Une couche de neige est tombée cette nuit et quand j’ai lâché les chats dehors ce matin, Charlie a fait une belle trace. Après une hésitation, Seccotine l’a suivi, en posant ses pattes soigneusement dans les pas de Charlie.

 

Il y a 2 semaines, je me faisais une entorse en glissant bêtement. Ca fait encore mal, mais je commence à boitiller sans mon attelle dans la maison. Sans doute un peu de physio bientôt et l’ostéopathe demain pour m’aider avec ma nuque, qui a pris un coup quand je suis tombée. Ca m’a empêchée notamment de conduire pendant 10 jours, mais pas de dessiner !

Je prépare mon séjour au festival d'Angoulême, qui promet d’être assez spécial cette année. Un rapport dessiné suivra.

 
Quelques croquis en hommage à un être exceptionnel et intrigant, David Bowie. Laissez-vous hypnotiser par ses derniers clips-testaments Blackstar et Lazarus. Je suis restée tétanisée. Quelle puissance, quel magnétisme il irradie ! Des émotions crues, d’une intensité qui m’a coupé le souffle.

Il est resté d’une beauté et d’une classe folle.
Complètement hors-norme.
Un monde sans Bowie.

 

 

O.