Voilà. C’est reparti sur
Ishum II.
Une séquence onirique.
SaMajesté est forcée de (re)vivre sa jeunesse par des cauchemars.
Les « taches » de photos sont des mosaiques qui seront
intégrées au fond sombre du rêve.
Je rêve beaucoup.
Parfois je note le rêve au
matin en me disant « Ah, ça c’est une bonne idée ! ». Il peut m’arriver
de vraies histoires, avec un début-milieu-fin. Ou alors je me réveille avec une
idée de départ pour un développement scénaristique (une population matriarcale
sur une île…). D’ailleurs, quand c’est vraiment une très bonne histoire et que
je n’ai pas sous la main de quoi noter, j’ai déjà pu décider de refaire le même
rêve avant de m’éveiller pour que je m’en souvienne mieux.
J’ai un dictionnaire des
symboles du rêve sur ma table de chevet, et il m’aide à interpréter pour mon
enrichissement personnel ce que mon inconscient a essayé de me transmettre
durant la nuit. Utile.
Il m’arrive d’être
capable d’intervenir « consciemment » dans mes rêves. Surtout quand
je sens que ça va mal finir (je nage et la rive s’éloigne comme je suis
emportée par le courant…). J’ai pu ainsi changer des détails (un tronc flottant
apparaît et me permet d’atteindre la rive…).
Mais le plus souvent, je
n’ai, comme beaucoup de gens, que des souvenirs épars de mes rêves et très peu
de « prise » sur ceux-ci. Mais ma vie nocturne est très riche. J’adore
dormir. C’est comme d’aller au cinéma, participation intense en plus. Ce qui
fait évidemment que je peux me réveiller très fatiguée après tout ce que j’ai
fait durant mon sommeil.
C’est surtout cela qui
rend perplexe mon homme, qui prétend ne pas rêver… Ou du moins, ne pas ressentir le besoin de se souvenir de ses rêves.
Et puis il y a mes rêves
éveillés, qui sont tout autre chose. Ca sera pour une prochaine fois.
O.
1 commentaire:
Belle planche en tout cas.
Enregistrer un commentaire