10 octobre 2012

Retour au calme... temporaire.


Voilà. C’est reparti sur Ishum II.

Une séquence onirique. SaMajesté est forcée de (re)vivre sa jeunesse par des cauchemars.
Les « taches » de photos sont des mosaiques qui seront intégrées au fond sombre du rêve.


 

 

Je rêve beaucoup.

Parfois je note le rêve au matin en me disant « Ah, ça c’est une bonne idée ! ». Il peut m’arriver de vraies histoires, avec un début-milieu-fin. Ou alors je me réveille avec une idée de départ pour un développement scénaristique (une population matriarcale sur une île…). D’ailleurs, quand c’est vraiment une très bonne histoire et que je n’ai pas sous la main de quoi noter, j’ai déjà pu décider de refaire le même rêve avant de m’éveiller pour que je m’en souvienne mieux.

J’ai un dictionnaire des symboles du rêve sur ma table de chevet, et il m’aide à interpréter pour mon enrichissement personnel ce que mon inconscient a essayé de me transmettre durant la nuit. Utile.

Il m’arrive d’être capable d’intervenir « consciemment » dans mes rêves. Surtout quand je sens que ça va mal finir (je nage et la rive s’éloigne comme je suis emportée par le courant…). J’ai pu ainsi changer des détails (un tronc flottant apparaît et me permet d’atteindre la rive…).

Mais le plus souvent, je n’ai, comme beaucoup de gens, que des souvenirs épars de mes rêves et très peu de « prise » sur ceux-ci. Mais ma vie nocturne est très riche. J’adore dormir. C’est comme d’aller au cinéma, participation intense en plus. Ce qui fait évidemment que je peux me réveiller très fatiguée après tout ce que j’ai fait durant mon sommeil.

C’est surtout cela qui rend perplexe mon homme, qui prétend ne pas rêver… Ou du moins, ne pas ressentir le besoin de se souvenir de ses rêves.

 
Et puis il y a mes rêves éveillés, qui sont tout autre chose. Ca sera pour une prochaine fois.

  

O.

1 commentaire:

Zaïtchick a dit…

Belle planche en tout cas.