30 septembre 2014

Islande 3

Depuis notre guesthouse à Hvolsvollur, on part pour Landmannalaugar.
Première route "sauvage".

Avant, j'ai quand même été discuter avec la personne de l'office de tourisme. J'ai demandé si la route n'est pas trop difficile. Elle m'a demandé quelle voiture était la mienne dehors, l'a regardée, puis m'a dit "non non, ça devrait aller."

J'ai juste cru une fois qu'on allait s'écrabouiller, mais sinon, en effet, "ça a été". ;o)
Et ça valait la peine !

 
Le lendemain je vais voir Thorsmork. En bus à grosses roues, cette fois. J'écoute les conseils des islandais.

 





O.

27 septembre 2014

Islande 2

Suite du carnet de voyage.
Je vais chercher la voiture de location et c'est le départ pour la graaaande aventure. Je manque emboutir un véhicule de police 5 minutes après avoir pris le volant (il avait décidé de tourner à gauche et s'était arrêté au milieu de la route), mais après, niveau conduite, plus de surprises de circulation. Sauf quelques angoisses sur des routes extrêmes, mais total maîtrise dans l'ensemble. Cool Röðull (c'est le prénom islandais le plus approchant de Raoul).

Pendant ces premiers jours, il fait toujours un temps dégueulasse, vivement le nord où il fait beau ! Quelques éclaircies, évidemment, conformément au T-shirt "You don't like the weather in Iceland ? Wait 5 minutes."

 

 

 
O.

25 septembre 2014

Islande 1


Voilà, je suis de retour.

Le voyage en Islande fut un rêve. Quand je me suis retrouvée à l’aéroport de Keflavik, à 6h du matin pour prendre l’avion de retour, mes souvenirs se perdaient dans une sorte de brume onirique, comme si cela n’avait pas été réel. Pourtant, j’avais 27 pages dans mon carnet de voyage.

 

Peu à peu cela prend sa place dans ma tête. Il y avait un « bouchon de perception » quelque part, je pense. Trop d'expériences trop vite.
Maintenant je peux à nouveau sentir le vent sur la plage de sable noir de Vic, recevoir les embruns d’une cascade anonyme, frémir devant la route vertigineuse après Olafsfjordur, ramasser des pierres volcaniques à Hvammstangi pour Léo, sentir la lourde odeur des moutons affolés vers Dalvik… J’y étais. J’y étais vraiment.

 
Quelle île ! Quel pays ! Hors de toutes proportions humaines.

 

 



O.