25 octobre 2012

Bédémania 2012


Le weekend prochain, festival Bédémania à Belfaux. Super-sympa et je suis invitée. Ils m’ont aussi demandé de passer le vendredi dans une école, pour parler de bd et montrer un peu comment ça se fabrique. Je l’avais déjà fait il y a hum 6 ans, je crois (le festival a lieu tous les 2 ans). Donc je reprendrai ma présentation PowerPoint, en l’actualisant. J’essaie de garder ça détendu, mais c’est quand même une activité que je n’ai pas l’habitude de faire. Un peu stressante quoi… Je pense à maman qui était prof, j’espère que l’atavisme fonctionne à ce niveau là ;o)

Et puis je fais quelques dessins, pour vendre durant le festival à ceux qui seraient intéressés. Nan, pas mes planches !


 
 
J’ai reçu les derniers 27 des 50 exemplaires de Croquettes. En enlevant ceux qui sont réservés, j’en aurai je pense moins de 20 à dédicacer au festival. Faudra pas que j’aille trop vite !

Qui aurait cru que ces albums partiraient si vite ?!?
Pas moi !

Aucune idée comment cette aventure va continuer, mais une nouvelle histoire m’est déjà apparue. Juste la peaufiner avant de la noter et d’éventuellement la mettre en images. L’inspiration… Dans la série Songs of Earth and Power, de Greg Bear (que je conseille à tous, de toute façon, Greg Bear, c’est génial), le héros appelle ça « listening to Radio Death ». Pour montrer comme c’est étrange quand les idées viennent et se mettent en place avec une logique confondante. Comme si on écoutait une émission d’origine inconnue dans sa tête.

Ces derniers temps, rien ne venait. Et puis un matin, en me réveillant – le meilleur moment pour moi de faire de la visualisation de cases ou justement de mettre en place une histoire – une idée s’est mise à entraîner l’autre. Et même si le résultat final n’a plus grand-chose à voir avec le déclenchement de départ, je tiens de nouveau une aventure du Chat.



O.

12 octobre 2012

invasion cavernicole

Ils ont commencé par manger la réserve de chocolat de Philippe.

Puis ils ont fait une erreur fatale : ils ont touché à ma réserve de chips.

 



Déjà deux de moins. Je me demande combien il y en a !


O.

10 octobre 2012

Retour au calme... temporaire.


Voilà. C’est reparti sur Ishum II.

Une séquence onirique. SaMajesté est forcée de (re)vivre sa jeunesse par des cauchemars.
Les « taches » de photos sont des mosaiques qui seront intégrées au fond sombre du rêve.


 

 

Je rêve beaucoup.

Parfois je note le rêve au matin en me disant « Ah, ça c’est une bonne idée ! ». Il peut m’arriver de vraies histoires, avec un début-milieu-fin. Ou alors je me réveille avec une idée de départ pour un développement scénaristique (une population matriarcale sur une île…). D’ailleurs, quand c’est vraiment une très bonne histoire et que je n’ai pas sous la main de quoi noter, j’ai déjà pu décider de refaire le même rêve avant de m’éveiller pour que je m’en souvienne mieux.

J’ai un dictionnaire des symboles du rêve sur ma table de chevet, et il m’aide à interpréter pour mon enrichissement personnel ce que mon inconscient a essayé de me transmettre durant la nuit. Utile.

Il m’arrive d’être capable d’intervenir « consciemment » dans mes rêves. Surtout quand je sens que ça va mal finir (je nage et la rive s’éloigne comme je suis emportée par le courant…). J’ai pu ainsi changer des détails (un tronc flottant apparaît et me permet d’atteindre la rive…).

Mais le plus souvent, je n’ai, comme beaucoup de gens, que des souvenirs épars de mes rêves et très peu de « prise » sur ceux-ci. Mais ma vie nocturne est très riche. J’adore dormir. C’est comme d’aller au cinéma, participation intense en plus. Ce qui fait évidemment que je peux me réveiller très fatiguée après tout ce que j’ai fait durant mon sommeil.

C’est surtout cela qui rend perplexe mon homme, qui prétend ne pas rêver… Ou du moins, ne pas ressentir le besoin de se souvenir de ses rêves.

 
Et puis il y a mes rêves éveillés, qui sont tout autre chose. Ca sera pour une prochaine fois.

  

O.